Le sieur Pagès fils est mandé à la barre de l’assemblée de la commune pour se justifier de la lettre imprudente par lui écrite à son frère à Paris, dans laquelle sous ‘des termes aussi spécieux qu’insultants et peu réfléchis’ le patriotisme connu de M. Danseville est ‘indécemment’ attaqué, celui des honnêtes citoyens de la colonie mis en doute et la vérité compromise en plusieurs endroits, surtout lorsqu’il se dit chargé des pouvoirs des habitants.