12/04/1992

Faisant suite au départ très mouvementé du laborantin de l’Hôpital, quatre personnes de Saint-Pierre sont appréhendées et placées en garde à vue par la gendarmerie. Pour protester contre ces interpellations quelques centaines d’habitants manifestent violemment devant le Palais de Justice et la Gendarmerie où plusieurs vitres sont brisées par les manifestants. Pour se dégager les gendarmes sont obligés d’avoir recours aux gaz lacrymogènes. Les quatre personnes précitées sont relâchées et le calme revient immédiatement. Ce résultat aurait pu être obtenu de façon identique par un dialogue constructif, sans avoir recours à la violence trop souvent employée de nos jours.

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